
L’UPFJ gardera en mémoire l’homme héroïque ayant tenté en 1956 de convaincre les membres de son régiment de déserter et de combattre aux côtés de Tsahal l’ennemi commun, abritant les corps francs du FLN, lors de la Crise du Canal de Suez.
Tout comme cette date du 17 février 1987 lorsqu’à New York, Jean-Marie Le Pen prononce un discours très pro-israélien devant le Congrès juif mondial. Monsieur Le Pen considère alors Israël comme un pilier du monde libre, aux avant-postes de la lutte contre le communisme international. Il se prononce pour la fermeture du bureau de l’OLP à Paris, se montre résolument atlantiste et en faveur de l’intégration d’Israël dans un front européen. A la fin de son allocution, l’assistance se lève pour une standing ovation et Edgar Bronfman, le président du Congrès juif mondial, propose même à Jean-Marie Le Pen de le faire raccompagner à son avion.
Grand intellectuel maîtrisant l’art oratoire et véritable animal politique, comme tout Homme, Jean-Marie Le Pen a sa part d’ombre et de lumière.
Au moment de son inhumation dans sa ville natale de la Trinité-sur-mer, l’UPFJ veut saluer la mémoire du pupille de la Nation, du chef de famille, du soldat, du visionnaire, du patriote, du Français et du Breton, amoureux de sa terre où il va désormais reposer en paix.


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