« Benoît Hamon est en résonance avec une frange islamo-gauchiste » a déclaré le député socialiste de l’Essonne Malek Boutih à 20 minutes.

Et ce proche soutien de Manuel Valls de rappeler que la porte-parole de Benoît Hamon, le député PS Pascal Cherki, a soutenu une réunion interdite aux personnes de race blanche en 2016.

Dans cet entretien, Malek Boutih dit s’opposer au terme « islamophobe ». Pourquoi ? « Ce mot est imposé par des forces islamistes, et a été importé en France par Tariq Ramadan. Quelle est la technique de ces gens-là ? Transformer toute réalité politique en réalité identitaire (…) Benoît Hamon et ses amis sont dans une dérive identitaire lorsqu’ils justifient des comportements non-républicains. Ils sont absorbés par des termes et des concepts importés par des islamistes. Bien sûr, il peut y avoir un racisme anti-musulman qui existe. Mais il y a une deuxième question, qui est très grave aussi : Hamon et ses amis considèrent qu’on peut critiquer l’Église catholique mais pas les musulmans. Vous ne les verrez jamais utiliser le terme christiannophobe par exemple » développe le parlementaire.

« Hamon est le candidat des Frères Musulmans » affirme de son côté au journal Libération un ministre actuellement en fonction sous couvert d’anonymat. On notera au passage le courage politique de nos ministres n’ayant pas le courage d’assumer publiquement leurs déclarations alors qu’ils ont pourtant la responsabilité de l’Etat.. Courage, fuyons..

On ne peut que partager la très juste analyse de Malek Boutih. Mais cette vérité démontre une effroyable réalité ; François Hollande et Manuel Valls ne pouvaient pas ignorer qui était réellement Benoît Hamon, à savoir l’une des branches politiques des Frères Musulmans en France.

Pourtant, qui a nommé monsieur Hamon deux fois ministre de la République au cours du quinquennat écoulé ? N’est-ce pas François Hollande, Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls lui-même faisant de Benoît Hamon son ministre de l’éducation nationale ?

Dans le fond, qu’est-ce qui dérange réellement Manuel Valls ? L’idéologie de Benoît Hamon ou son ambition politique dévorante lui faisant de l’ombre ?

En réalité, derrière ses postures, Manuel Valls ne vaut pas mieux que Benoît Hamon lui-même.

Le premier ministre Valls a baissé son pantalon devant les terroristes au nom de l’Etat de droit bradant ainsi la sécurité des Français sur l’autel de son idéologie gauchiste mortifère.

C’est lui, Manuel Valls, qui s’est accommodé dans son propre gouvernement des islamo-gauchistes comme Benoît Hamon, Emmanuelle Cosse ou encore Christiane Taubira. C’est lui l’homme du compromis, des petits arrangements et du renoncement.

Si François Hollande a été élu en 2012, ce n’est qu’en raison des multiples trahisons de Nicolas Sarkozy, élu en 2007 sur un projet de droite dure pour finalement faire l’ouverture à gauche et ainsi trahir les millions d’électeurs qui lui avaient fait confiance.

Le socialisme en France représente moins de 1,6 millions d’électeurs (participation au premier tour de la primaire de la gauche). En 2012, une majorité d’électeurs ayant voté François Hollande n’ont pas voté POUR François Hollande mais CONTRE Nicolas Sarkozy.

La gauchisme est un cancer qui tue à petit feu notre Nation. Il n’y a rien à attendre de la gauche ni de l’extrême gauche, sauf le malheur et la destruction.

Cette primaire de la belle alliance impopulaire aura eu au moins un mérite ; celui de montrer le vrai visage des socialistes et de Manuel Valls.

Au bout du bout, l’engagement politique de François Hollande aura finalement servi à quelque chose ; détruire enfin le parti socialiste. C’est la seule chose positive à retenir de son interminable carrière politique..

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