On ignorait les talents de scénaristes d’une majorité de pays membres de l’UNESCO, capables en une résolution de réécrire de A à Z l’histoire de l’humanité en science-fiction digne des meilleurs films hollywoodiens du genre.
Ainsi, pour l’UNESCO rien n’a existé avant 610 de notre ère. En niant le lien entre le Peuple Juif, Jérusalem et le Mont du Temple, l’UNESCO nie tout simplement l’histoire, la vraie.
Car la résolution votée par l’UNESCO ne porte pas seulement atteinte au peuple juif. Elle vise au rejet de la civilisation Judéo-chrétienne dans son ensemble.
En effet, point de destruction du Temple de Jérusalem en 70 de notre ère par les Romains puisque les Juifs et le Temple n’ont jamais existé dans la région. Légende !
D’ailleurs, point de Jésus Christ non plus dans le secteur. Comment Jésus aurait-il pu chasser les marchands d’un temple qui n’existait pas ? Comment le Christ aurait-il pu se revendiquer roi d’un peuple inventé ? Légende !
Aucun doute pour l’UNESCO, tout ce qui s’est déroulé avant 610 de notre ère en Terre Sainte est légende tandis que tout ce qui s’est passé ensuite est vérité. Ainsi, Jérusalem serait une ville islamique fondée par les Musulmans sur un site vierge..
La Société des Nations a accompagné le monde dans la Seconde Guerre Mondiale responsable de la mort de 60 millions d’humains.
L’Organisation des Nations Unies lui ayant succédé en 1945 a été, elle aussi, incapable de pacifier la planète. Depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, combien de génocides ? Combien de guerres ? Combien de conflits armés ? Combien d’actes terroristes à travers le monde ? Combien de morts au total depuis 1945 ?
En réalité, l’ONU est incapable de maintenir la paix mondiale mais elle s’est spécialisée en leçons de morale, désinformation à grande échelle et autres lavages de cerveaux pour des amnésies collectives garanties satisfait ou remboursé.
A l’instar de l’Union Européenne, de la Fédération Internationale de Football Association, de la Banque Centrale Européenne ou encore du Fond Monétaire International, l’ONU et ses filiales permettent à une poignée d’individus de détenir quasiment l’intégralité du pouvoir et des richesses mondiales.
Comme Hillary Clinton et les Démocrates américains, ces institutions défendent un projet de société basé sur le multiculturalisme et le libre échange. Les mouvements populistes européens, le mouvement évangélique américain, le mouvement nationaliste religieux et laïc juif (sionisme) ou encore les mouvances patriotiques à travers le monde, y font obstacle.
D’une manière générale, les positions politiques de ces grandes institutions internationales se rejoignent. Leurs ennemis sont clairement désignés.
Ainsi, la fédération palestinienne de football fait pression sur la FIFA pour réclamer une action contre les clubs des implantations de Judée et Samarie tandis qu’une manifestation pro-palestinienne a été organisée à Paris pour demander l’expulsion d’Israël de la FIFA, rien que ça..
L’Union Européenne ne rate jamais une occasion de critiquer Donald Trump ou les mouvements populistes européens tout en soutenant majoritairement tant officiellement qu’officieusement le BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) et bien sûr, madame Clinton.
Le FMI et la BCE interdisent toutes formes de protectionnisme et rejettent l’idée même de frontières, encourageant ainsi l’immigration de masse pour déstabiliser le marché du travail.
Il est évident que ces grandes institutions mènent une politique internationale commune relativement cohérente, celle de la gauche mondiale et de ses alliés islamo-gauchistes qui vise à imposer le multiculturalisme comme modèle sociétal unique dans un monde no border (sans frontière) ayant pour doctrine économique le libre échange.
Ce projet de société conduit peu à peu l’Europe à se libaniser et entraînera à termes les mêmes conséquences sur le vieux continent qu’au pays du Cèdre.
Les choix politiques à venir des peuples tant en Europe qu’aux USA vont s’avérer plus que jamais cruciaux pour l’avenir de la planète.
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