Vous êtes nombreux à nous interroger sur les positions de l’UPFJ dans le match opposant outre-Atlantique Hillary Clinton à Donald Trump.

L’UPFJ considère la politique conduite par le camp démocrate comme particulièrement dangereuse, surtout en matière de politique étrangère.

C’est bien Jimmy Carter qui a abandonné le Shah plongeant ainsi l’Iran dans l’obscurantisme de la révolution islamique. Conséquences ? Ce pays menace désormais la paix mondiale par sa maîtrise probable de la technologie nucléaire, finance le terrorisme notamment en Irak et exécute par pendaison des adolescents suspectés d’homosexualité au nom de la Charia.

Le soutien idéologique, politique et militaire de la gauche américaine dirigée par Bill Clinton durant les guerres de Yougoslavie aux musulmans de Bosnie et d’Albanie contre nos frères serbes orthodoxes a produit Al-Qaïda et son chef, Ben Laden avec les conséquences du 11 septembre 2001 qu’on connaît.

La politique de la gauche américaine au Proche-orient a également été une catastrophe. Il suffit d’interroger l’opinion publique israélienne sur les accords d’Oslo imposés par Bill Clinton, véritable fiasco à l’origine de la montée en puissance des islamistes du Jihad et du Hamas.

Et que dire du retrait américain d’Irak et des tergiversations de Barack Obama sur la question syrienne ? Tout ceci n’a-t-il pas eu pour conséquences l’expansion de Daesh et de son cortège d’atrocités ? N’est-ce pas là les conséquences d’une crise migratoire en Europe dont on ne voit pas la fin ?

Enfin, l’idéologie même de la gauche américaine et sa vision du monde est contraire aux intérêts des peuples et à la préservation de leurs identités. Les américains eux-mêmes sont victimes de cette politique de gauche et doivent faire face à des difficultés de plus en plus grandes à l’intérieur de leurs propres frontières.

Contrairement à Hillary Clinton, Donald Trump fait le bon diagnostic sur l’état de la société américaine et du monde. Il est conscient des menaces et n’est pas dans le politiquement correct ni dans le déni de réalité comme l’est sa rivale démocrate.

Précisément, pour mener la bonne politique, il faut d’abord établir le bon diagnostic, c’est chose faite pour Donald Trump. Aucun projet politique ne peut atteindre la perfection. Mais entre le programme de Donald Trump et celui d’Hillary Clinton, selon l’expression consacrée, il n’y a pas photo..

Chasser les démocrates du pouvoir ? Donald Trump, yes he can ! Donald, now !

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